International Music Company Concerto en si bémol majeur (avec cadence), opus 91 – Gliere, Polekh – Cor et piano – Partition individuelle
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Description
- Composition/conception : GLIERE, REINHOLD
- Instrumentation : F HORN
- Numéro de modèle : 1599INT
Édition, cadence : Valery Polekh
Support : Partition individuelle
Instrumentation : Cor et piano
Préface
Reinhold Moritzevich Gliere (1875-1956), l’un des plus célèbres artistes de composition du vingtième siècle, est né à Kiev. C’est dans cette ville qu’il a commencé sa formation musicale et, dès son plus jeune âge, il a fait preuve de dons inhabituels pour la création. Avant d’atteindre l’âge de dix-neuf ans, il avait déjà à son actif de nombreuses pièces pour piano et violoncelle, deux quatuors à cordes et une ouverture pour orchestre.
En 1894, il se rend à Moscou où il entre au Conservatoire impérial. Il y étudie le violon avec Sevcik et Hrimaly, ainsi que la théorie et la composition avec Arensky, Ippolitov-Ivanov et Taneev. Il reste au conservatoire pendant six ans, au cours desquels il compose son premier sextuor à cordes, son quatuor à cordes en la, son octuor à cordes et sa première symphonie. Il obtient son diplôme en 1900, avec mention, et reçoit une médaille d’or.
Peu après avoir obtenu son diplôme au Conservatoire, Gliere commence à enseigner la composition et, en 1902, il compte parmi ses célèbres élèves Myaskovsky, alors âgé de vingt ans, et Prokofiev, alors âgé de onze ans.
La production créative de Gliere comprend une grande variété d’œuvres : de nombreuses chansons, des pièces pour piano solo, des duos de piano, deux pianos, des instruments à cordes, de la musique de chambre, des opéras, des ballets, des symphonies et des concertos. Son œuvre monumentale, la symphonie numéro 3, sous-titrée « Ilya Mourometz », pour laquelle il est le plus connu aux États-Unis, a été composée en 1909.
Le présent concerto, écrit vers la fin de l’année 1940, réunit certains des traits si caractéristiques de l’œuvre de Gliere, à savoir un large lyrisme et une gaieté contagieuse. Il est extrêmement efficace pour la corne. Le compositeur l’a dédiée au plus grand corniste russe de l’époque, Valery Polekh, qui l’a éditée et lui a écrit une cadence.
– Waldo Lyman

